L’unanimité sur le sujet de la réforme des rythmes n’est pas ou plus possible, et ce malgré l’intérêt indiscutable de placer l’enfant au centre d’un dispositif pour lui permettre de meilleures conditions d’apprentissages
Le contexte économique et social, la méthode de déploiement de la réforme et les effets constatés dans certaines communes suscitent l’inquiétude voire l’opposition croissante des familles que les responsables politiques (état/collectivité) doivent prendre en compte.
En conséquence de quoi, et forte d’une concertation menée par l’UDAF 67 approuvée par 8 fédérations d’associations ou de parents d’élèves (motion), l’APEPA demande un assouplissement des règles de mise en uvre de la réforme pour permettre aux acteurs locaux de trouver des solutions adaptées dans le cadre d’une concertation indispensable et incontournable, et mettre notamment fin aux séquences multiples provoquant la fatigue des enfants en:
– abandonnant la réforme en maternelle
– permettant une organisation sur 5 matinées (y compris le samedi lorsque souhaité) + 2 après midi en élémentaire